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Les protocoles de transmission des données : ACN | SONO MAG

Les protocoles de transmission des données : ACN

par | 22 Sep 2016 | Tutoriel Lumière & Vidéo

Les protocoles de transmission des données : ACN

septembre 2016Tutoriel Lumière & Vidéo

3/ L’ACN

Ostensiblement tourné vers le futur, le standard « E1.17 Architecture for Control Networks » est une passerelle entre la diversité des protocoles existants et les technologies qui vont être développées dans un avenir plus ou moins proche. Il exploite tout le potentiel des réseaux WAN et LAN et fournit un ensemble modulaire et flexible destiné au paramétrage et au contrôle des systèmes les plus hétérogènes, permettant une totale interopérabilité entre les technologies de la lumière, de l’audio et de la vidéo mais aussi avec toutes les machineries de scène ou la pyrotechnie. Pourtant, bien que ce standard déjà vieux de dix ans soit le « must » des protocoles de transmission des données, il reste encore peu implémenté par les manufacturiers dont les stratégies commerciales visent généralement l’économie et le court-terme. Dommage !

Lorsque sont apparus, au début des années 1980, les premiers systèmes de contrôle numérique des gradateurs, il y eut pendant quelques temps autant de protocoles propriétaires que d’appareil. La création du standard DMX512 et son adoption assez rapide par la majeure partie des fabricants ont permis de mettre un terme à ce chaos et ont rendu possible un premier pas vers l’interopérabilité des systèmes. Il en a été de même pour les premiers luminaires automatiques, chaque marque développant son propre protocole de commande avant que les manufacturiers optent finalement pour l’usage du DMX. Mais les besoins de l’industrie du spectacle ont très vite évolué et le problème de l’interopérabilité s’est bientôt posé d’une autre façon : il ne s’agissait plus de se limiter au seul contrôle des gradateurs et des projecteurs asservis mais d’étendre la communication à toute une chaîne d’appareils incluant les systèmes audio, la vidéo, la machinerie de scène ou encore la pyrotechnie. Tous ces systèmes possédaient leurs propres standards de transmission des données, qu’ils soient propriétaires ou ouverts comme le MIDI Show Control…

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