STARWAY DINO

par | 17 Déc 2019 | Test Lumière & Vidéo

STARWAY DINO

décembre 2019Test Lumière & Vidéo

Bburago

Nous comprenons tous cette mode de donner des noms de voitures prestigieuses à des projecteurs. Starway, on le sait, n’est pas la première marque à le faire, et choisir des modèles mythiques issus de la marque au cheval cabré est évidemment alléchant. Des fabricants de voitures cherchent bien à asseoir leur lettres de noblesses sur l’histoire, comme avec la résurrection des Coccinelle, DS et autres 500 ou Mini. Vous rappelez vous du célèbre Servospot 250 ? Pouvons-nous oser la comparaison vingt ans après ? Qu’en est-il réellement de ce projecteur ? Miniature prétentieuse ou réelle opportunité de substitution pour des opérations ciblées ?

L’ASPECT, LE SYSTÈME D’ACCROCHE, LA MANIPULATION, LE MODE D’EMPLOI

Comme dit précédemment, ce petit projecteur nous évoque vaguement… Quoi donc, déjà ? Non rien, on oublie… La finition est propre, et l’ensemble a l’air solide. L’équipement est classique, avec un écran LCD couleur bien lisible et six boutons pour dérouler le menu. Il ne se retourne pas automatiquement mais manuellement et très facilement. La connectique permet un pilotage en DMX avec des embases XLR trois et cinq broches en entrée et sortie. L’alimentation se fait en Powercon entrée et sortie. Freevox garantit la possibilité de brancher en lien jusqu’à six Dino. La tête n’est pas bloquée en pan ni en tilt mais, vu le poids et l’encombrement, ce n’est pas un problème. Parce que le Dino est petit, mais vraiment petit. Et il ne pèse presque rien, seulement 11,5 kg !

L’empreinte est vraiment très réduite, et c’est un autre très bon point pour ce projecteur. Si on le compare avec le Servospot 250, le gain est de 10 kg, rien que ça. Et si vous vous amusez à regarder les embases, c’est terrible. Celle du Servospot est immense ! La fixation se fait avec deux crochets et non un seul. Le Dino ne tournera donc pas stupidement autour d’un point d’accroche central. Bien qu’en français, le mode d’emploi ne mérite pas son nom tant il est succinct et insuffisant, et ceci après vérification sur le FTP technique. Impossible de trouver le déroulant du menu, par exemple. Je suppose que cela ne saurait tarder. Sans vouloir créer de malaise, le mode d’emploi du Servospot, lui, est génial, détaillé, précis… N’oublions pas de préciser que ce projecteur se commande par paire, et en flight case. Il n’y a donc pas surabondance de plastiques et d’emballages, ce qui nous réjouit. Les omégas, l’alimentation Powercon et l’élingue de sécurité sont fournis.

Un article de

François Guillet

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