AES Paris
Un article de
Gisèle Clark
Retour vers le futur IV
“If it’s about audio, it’s at AES !” Pour le visiteur qui vient pour la première fois, le dépaysement est total. D’un stand à l’autre, comme dans la DeLorean DMC-12 du Dr Emmeth Brown, on peut être propulsé dans le futur où faire un bond d’une cinquantaine d’années dans le passé. Focus sur quelques coups de cœur de la 140e .
Dix ans séparent les deux dernières conventions AES parisiennes. Pendant ce long intervalle, les différents comités européens sont allés porter la bonne parole du côté de Budapest, Berlin, Rome ou Varsovie, avec un programme de conférences qui nécessiterait deux jours de plus pour pouvoir le suivre tant il est dense. Pour cet aspect-là, Paris ne faisait pas exception, il y avait largement de quoi occuper ses journées et ses soirées. Côté exposition de matériel, l’AES est réservée aux fabricants. C’est dans ses statuts. Mais en raison d’une situation économique difficile, les fabricants ont tendance à se concentrer sur des événementiels plus porteurs type IBC, ISE et Pro Light & Sound, certains (pas tous) donnant un petit coup de pouce à leurs distributeurs locaux. Pour les visiteurs français, pas de problème, chacun retrouvait ses marques, mais comme une bonne partie des participants venait d’ailleurs, là, ça se Sur le stand Avid où officiait Yves Jaget (à droite), rencontre avec Claude Sahakian (à gauche), et Jean-Michel Kajdan (au centre). compliquait un peu. Pourtant, interrogés pour ce présent compte-rendu, tous (exposants et visiteurs) sont d’accord sur le fait qu’une AES à Paris, ça ne se refuse pas, même si, parfois, on a un peu grincé les dents sur l’organisation logistique !
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