Déballage de l’appareil

Rien de déstabilisant lors du déballage, on est bien sur la gamme Pioneer DJ : carton aux couleurs de la marque, design et boutons reconnaissables immédiatement et surtout, la position asymétrique des platines, comme s’il s’agissait de deux mini CDJ positionnées de chaque côté d’une DJM. Le DDJ-RX n’est pas équipé d’écran, ni d’aucun afficheur à part les LEDs circulaires au centre des molettes de contrôles. Toutes les informations seront à consulter sur l’ordinateur via l’interface de Rekordbox DJ. Au niveau de la table de mixage quatre voies, on est également sur du Pioneer classique et mis à part l’emplacement du curseur de volume du sampler positionné au centre de la table, on est en terrain conquis, ce qui offre une prise en main remarquable. Car c’est ici le gros avantage de Pioneer DJ : on connaît leurs machines, et les décliner tout en conservant l’ergonomie bien connue semble une valeur sûre. On a donc ici en main la même machine que le DDJ-SX2 pour Serato, mais dédié cette fois à Rekordbox. Notons au passage que le DDJ-SX2 est aussi compatible Rekordbox mais que l’inverse, se servir de Serato sur le DDJ-RX, n’est pour l’instant pas possible.

Installation et branchement

Une clé de licence Rekordbox DJ est fournie avec l’appareil. Si vous utilisez déjà Rekordbox pour trier votre bibliothèque musicale et organiser vos clés USB, il suffira d’activer la version pro via le numéro de série inclus. Pas de téléchargement, pas de configuration, ça fonctionne immédiatement et c’est très appréciable, surtout si on a déjà de belles playlists prêtes et analysées. Sur le DDJ-RX, c’est encore une fois un gros bouton de navigation qui permet de…