PROLIGHTS DIAMOND 19
François Guillet & Marion Pageaud
T’as d’beaux yeux tu sais ?
Prolights a mis en avant l’aspect pratique et fonctionnel de ce projecteur, peut-être au détriment de l’esthétique. Au premier coup d’œil son design laisse perplexe : les traits sont droits, dépourvus de courbes. Excepté l’intérieur des bras et le dessous de l’embase, le tout est en plastique noir, laissant visibles les radiateurs en métal sur la tête. Mais ne vous y trompez pas, à défaut d’être le plus beau bijou de la terre, ce projecteur a été conçu pour faciliter la vie des techniciens ! On justifie la taille de l’embase par son nombre de connecteurs, qui nous laissent entièrement le choix du branchement : XLR trois et cinq broches mâle/ femelle, Powercon In/Out et accès direct à un fusible. C’est exactement ce qu’il faut pour un projecteur de cette gamme et de ce type de consommation. De plus, l’embase est certes imposante, mais avec ses 11 kg, il reste léger pour sa taille. Les poignées ont été pensées pour le porter tête en haut et tête en bas. Les aérations sont juste derrière les poignées, ce qui sécurise la ventilation. On notera quand même quelques petits défauts sur la documentation papier et le mode d’emploi PDF, en anglais et italien uniquement. D’autant plus dommage que ce manuel contient beaucoup d’informations essentielles. Une petite erreur également sur ce livret, où il nous est indiqué 18 et 20 canaux sur la page de gauche et 14 et 16 canaux sur la page de droite (c’est bien 18 et 20 canaux !).
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